Un mois sans écrit pour cause d’invasion française, d’aller-retour à l’aéroport, de cousinades, de programmes et menus à géométrie variable pour essayer de combler petits et grands.
Je suis heureuse que tous soient venus pour notre Mini Z, même ceux et celles qui craignaient tant les catastrophes dans notre pays à l’image si négative.
Je sais que des petites filles sont rentrées en France avec pleins d’anecdotes à raconter, un exotisme fascinant quand on a 10 ans !
Je sais aussi que mon esprit est fatigué : un mois que je suis une balle de ping pong qui rebondit entre français et libanais. Les préjugés ont la vie dure.
J’aspire désormais à plus de calme et ma routine beyrouthine est la bienvenue malgré toutes les contraintes matérielles.